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20 commentaires
Super le parallèle entre l’envie de manger et les amis qui ne peuvent être là 24h/24 ! Je vais tâcher d’y penser lors de ma prochaine fringale… J’ai tendance à me jeter sur le chocolat d’autant plus facilement que je ne grossis pas facilement. Mais j’apprends à gérer mes émotions et à réfréner mes envies une fois sur xxx en me demandant ce qu’il y a vraiment comme ressenti derrière cette envie.
J’attends la suite avec impatience, merci Didier !
Bonjour Aude,
Merci pour ton commentaire !
Savais-tu que le chocolat est associé aux plaisirs de l’enfance ? Il existe un terme -la chocolatomanie- pour désigner cette manie du chocolat chez certaines personnes. On dit que ce sont les personnes qui manquent d’affection qui “souffrent” de chocolatomanie. Quand je dis “manque d’affection”, je vise surtout les affections qui sont propres à l’enfance : relation aux parents, grands-parents, etc.
Je ne sais pas du tout si cela te concerne, mais c’est en tout cas une grille de lecture qui peut être intéressante…
A bientôt !
RépondreBonjour Didier,
Pour ma part, dès que je suis stressé, contrarié, j’ai tendance à prendre du chocolat…
D’un autre côté, je connais une personne qui grossit sans manger d’avance, rien que par le stress… Le médecin lui a dit : une solution : se calmer… car elle se nourrit correctement et sans excès.
Bonjour Paul,
Merci pour ton commentaire.
J’ai envie de te répondre de manière un peu similaire à Aude. Est-ce que le fait de prendre du chocolat ne te rappelle pas de bons moments d’enfance, si on creuse un peu ?
Cela m’intéresserait d’avoir vos réponses à tous les deux. Moi-même, je ne suis pas un grand fan de chocolat… Mais c’est un peu normal : je ne pouvais pas en prendre lorsque j’étais petit. Je ne peux donc pas relier ce goût particulier à de bons moments d’enfance. D’autant plus que la première fois que j’ai goûté du chocolat, j’ai trouvé ça infect… 🙂
Voilà pour la parenthèse perso.
A bientôt !
Merci Didier pour cet article que j’ai relié pour ma part à ton article qui nous encourageait à faire du sport.
Le tennis étant redevenu pour moi une source de plaisir intense (émotion positive), ma reprise de ce sport à entrainé la perte assez rapide des cinq kilos en trop qui me plombaient le corps.
Alors qu’auparavant régime alimentaire strict et exercice physique à base de musculation et de course à pied étaient sans effets sur mon poid. La différence étant que ces exercices ont fini par me barber.
J’ai une autre théorie qui est qu’on s’alimente différemment en fonction de l’humeur. Actuellement heureux et plein d’énergie j’ai très envie de fruits et légumes frais, céréales complètes et blanc de poulet cuits à la vapeur. Quand je déprime, je suis plutôt porté vers la viande rouge, les frites, le sucre et les plats en sauces.
RépondreBonjour Vincent,
Merci pour ton témoignage très intéressant !
Ce qui veut dire que si on fait du sport “parce qu’il faut bien”, on risque de perdre son temps en ne perdant pas de poids du tout. Intéressant, ça, très intéressant… 😉
A bientôt !
Didier
RépondreBonjour Didier !
Encore un article très complet, bravo !
Celui-ci ne me concerne et je me demande si je ne fonctionne pas à l’envers des fois … 🙂
Moi, les contrariétés me font plutôt perdre du poids et je mets un temps fou pour reprendre les kilos perdus !
Certaines trouvent ça super mais quand on est déjà une brindille, chaque kilo compte.
Seule solution : ne jamais être contrariée ! 🙂
A bientôt !
RépondreBonjour Nathalie,
Sans doute que tu ne manges pas plus lorsque tu es stressée, voire même que tu manges moins alors que tu consommes plus de calories pour faire face aux contrariétés…
C’est vrai que tout le monde ne réagit pas toujours de la même manière aux situations stressantes. Et les personnes qui sont déjà naturellement minces ont un corps qui, à la base, est déjà génétiquement programmé pour réagir différemment à la nourriture, avec un métabolisme accéléré.
Merci pour ton intervention si enthousiaste !
À bientôt !
RépondreBonsoir Didier,
Voilà un article qui me replonge dans mes problématiques ! Je suis une “affective” chez qui les émotions jouent un grand rôle dans ma vie, pour mon bonheur comme pour mes problèmes de poids. Pour renforcer cela voilà une quinzaine d’année que je n’ai plus du tout de thyroïde (glande qui gère les émotions…)à la suite de quoi j’ai pris des kilos supplémentaires sans manger plus qu’avant mais qui sont très difficiles à perdre.
En clair je “joue au yoyo” selon mes humeurs car le traitement substitutif n’est toujours pas stabilisé. Ce qui me fait confirmer tes propos sur le rôle des émotions dans la prise de poids et la nécessité d’apprendre à les gérer plutôt que d’être lié à un traitement médical.
Merci de ces précieux conseils et à bientôt le plaisir de tes nouvelles,
Michèle
Bonjour Michèle,
Merci pour ton commentaire.
Il est clair que le fait de ne plus avoir de thyroïde est très déstabilisant pour le corps. Mais dans ton cas, le traitement médical est nécessaire pour remplacer l’action de la thyroïde, qui a un effet sur le métabolisme. Malheureusement, on ne pourrait pas remplacer ce traitement médical simplement par une meilleure gestion des émotions… Ce serait à la fois trop facile et trop compliqué.
Cela dit, la bonne gestion des émotions peut toujours avoir une bonne influence sur le poids, et je suis content de voir que cet article peut y aider !
À bientôt !
RépondrePetite information supplémentaire, Michèle. La thyroïde, c’est aussi la glande du rythme et… de ses distorsions. On peut également voir ses problématiques comme “des morceaux qui ne passent pas”, ce qui la relie aux problèmes d’assimilation de la nourriture !
RépondreEn effet, si on veut avoir du succès à long terme dans un programme de perte de poids, on doit examiner nos attitudes, nos émotions et nos comportements. Sinon, c’est presque garanti qu’on va retomber dans les vieilles habitudes alimentaires dès le premier signe de stress émotionnel.
Répondrebonjour
Perdre du poids? J’ai essayé, mais chaque fois que je suis contrarié c’est l’échec du régime. pourtant je ne suis pas gourmande, je ne grignote pas, et je ne mange pas gras.
comment font les autres pour atteindre leurs objectifs?
Si vous vous connaissez la solution miracle, je suis à votre écoute, vos conseils seront les bienvenus
bousquet
Bonjour Bousquet,
Merci pour cette question et bienvenue sur ce blog.
C’est simple : il n’y a pas de solution miracle. Il y a DES solutions, différentes pour chacun, parce que chaque personne est différente et qu’une solution optimale ne peut pas être une solution standard…
Dans votre cas, j’essaierais de me pencher sur les sources émotionnelles de votre surpoids.
A bientôt !
Répondre[…] Un article pour approfondir tout ceci se trouve en cliquant sur ce lien. […]
RépondreBonjour,
je viens de découvrir ce blog et je n’ai pas eu le temps de lire tous les articles. Cependant ce sujet est exactement celui que je cherchais : stress = je mange des gâteaux, du chocolat etc donc je grossis.
Cela fait 6 mois que je travaille dans une entreprise, je suis restée sans job pendant pas mal de temps auparavant, et j’ai pris environ 6 kilos ! A ce rythme je me dis qu’il vaudrait peut-être mieux arrêter de travailler….
Trêve de plaisanterie, ton idée de faire quelque chose qui permettent de “libérer de la sérotonine”, donner une émotion aussi forte qu’une grande quantité de biscuits par exemple me semble très intéressante. Il faut que je trouve des idées de cette sorte pour sortir de mon cercle vicieux car là je commence réellement à être effrayée par les proportions que prennent ces excès !
Bonjour Julie,
Merci pour ton commentaire et bienvenue sur ce blog !
Beaucoup de gens prennent des kilos lorsqu’ils commencent à travailler. Mais c’est vrai qu’en ce qui te concerne tu n’y vas pas par le dos de la cuiller !
Il me semble qu’il y a deux manières de résoudre ton problème de prise de poids. Soit tu parviens à te trouver régulièrement ta dose de sérotonine ;-), soit tu attaques le problème à la source en essayant de voir si tu pourrais vivre dans ton travail de manière moins stressée…
Si effectivement ta prise de poids vient du stress, je pense qu’il vaudrait mieux pencher en faveur de la seconde solution. Cela te permettrait de résoudre deux problèmes d’un coup.
Je ne suis pas un expert du stress, mais si ce nouveau boulot te fait stresser, peut-être est-ce parce qu’il apporte chaque jour son lot de situations nouvelles pour toi. Dans ce genre de situation, il ne faut surtout pas avoir une attitude de “réflexion automatique” basée sur tes acquis actuels. Ce genre d’attitude mène au stress parce que tu n’utilises pas la bonne partie de ton cerveau.
Au contraire, si tu parviens à te calmer dans une situation stressante et à enclencher ta créativité, tu pourras plus facilement solutionner des problèmes nouveaux. A ce moment-là, c’est une autre partie de ton cerveau qui fonctionne, capable de résoudre des problèmes plus complexes et capable d’apprendre beaucoup plus vite.
Là, je sors complètement du cadre de ce blog, mais c’est à cela que me fait penser ton intervention. J’espère que tu pourras en retirer quelque chose de positif !
A bientôt,
Didier
RépondreBonjour Didier,
Quand j’ai fait ma dépression nerveuse, j’ai maigri de 10 kg en un rien de temps et quand j’ai perdu mes parents j’ai grossi de … pas mal de kg
Dans les deux cas c’était dû aux émotions qui me bouffaient littéralement la vie dans le premier cas et qui me protégeaient dans le second
Je suis comme Michèle la femme yoyo type et je sais “qu”il faut maîtriser ses émotions” le tout est que je l’intègre alors que l’âge aidant les kg ont plutôt tendance (hélas!) à stabiliser
RépondreJe vous lis depuis le Mexique. Pour pratiquer mon francais j’ai retrouvé votre podcast et ensuite j’ai connu votre blog. Génial vraiment dans tous les sens. Vous donnez des conseils intégraux, et non pas seulement dans l’aspect médical. Conclusion, une approche tres humain. Bravo!
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