Ces aliments gras qui aident à perdre de la graisse
Un constat récurrent et une idée erronnée Combien de fois n’ai-je pas entendu une phrase du genre : « les aliments gras font grossir, donc je n’en prends pas !…
Un constat récurrent et une idée erronnée Combien de fois n’ai-je pas entendu une phrase du genre : « les aliments gras font grossir, donc je n’en prends pas !…
Quel regard porte-t-on sur les personnes obèses ? Lorsqu’on a un poids « normal », avec un rapport « normal » à la nourriture, une consommation « normale » et…
Mission : accumuler les bonus Si vous êtes un lecteur régulier de ce blog, vous savez depuis longtemps que j’essaie d’accumuler un maximum d’astuces qui concourent toutes au même but…
L’eau, c’est lourd ! Tout le monde ne souffre pas de rétention d’eau excessive. Mais si vous avez de la rétention d’eau, il est normalement possible de perdre assez facilement…
Pourquoi n’y a-t-il que les bonnes choses qui soient mauvaises pour la santé ? C’est une question que je me suis posée hier soir et que j’avais déjà entendue dans…
Podcast: Play in new window | Download
Pour manger à sa faim tout en perdant du poids, il faut recourir à une petite astuce que je vais vous décrire en détail ici et qui touche à ce qu’on appelle les aliments brûle graisse.
Cette astuce n’est pas particulièrement facile à comprendre parce qu’elle repose sur des bases théoriques qu’il faut développer, mais, comme d’habitude, j’essaie de vous expliquer le plus simplement possible des choses qui peuvent paraître rebutantes au premier abord.
Cela fait des années que Michel Montignac a écrit son premier livre « Je mange donc je maigris », dans lequel il parlait pour la première fois au grand public de la notion d’indice glycémique.
L’astuce dont je parlais plus haut repose sur (suite…)
Avant de parler de l’effet yoyo, j’aimerais faire un petit « flash back » pour rappeler que dans mon précédent article, j’insistais sur le fait que nous avions tous vaguement la quasi-certitude que le surpoids était en lien direct avec la quantité de calories que l’on prend tous les jours.
Je vous ai montré avec des exemples simples qu’il n’y avait aucune raison de réduire les problèmes de poids à cette si simple expression, et qu’il fallait faire preuve d’un peu plus de subtilité.
Bien que les deux scientifiques américains qui sont à l’origine de la théorie des calories aient reconnu leur erreur, l’information erronée qu’ils ont transmise au monde s’est répandue comme une traînée de poudre et fait désormais partie des « mythes fondateurs » de la diététique…
Comment se fait-il que cette erreur ait eu un tel succès ?
Comme je vous le disais la semaine dernière, les conclusions des deux chercheurs américains se basaient sur des expérimentations qui se sont déroulées sur un laps de temps très court (trop court). C’est ce qui explique leurs conclusions très optimistes.
C’est très bien d’avoir de bons résultats sur du court terme en matière de perte de poids, mais c’est bien mieux de (suite…)
La semaine dernière, je vous ai dit quelque chose qui peut-être risque de vous induire en erreur. Je le regrette un peu, et c’est pour cela que je vais tenter de « rectifier le tir » cette semaine-ci.
Qu’ai-je dit qui était si dérangeant pour quelqu’un qui s’y connaît un peu en diététique ?
C’est simple : j’ai laissé entendre que le fait de prendre du poids ou de perdre du poids était tout simplement lié à la quantité de calories contenues dans les aliments que l’on mange…
Si l’équation du poids se réduisait à cela, ce serait vraiment plus simple de perdre du poids !
En réalité, c’est beaucoup plus subtil.
L’origine de la théorie des calories (qui est à la base du régime hypocalorique) remonte à 1930, où deux médecins américains de l’Université du Michigan ont émis l’idée que l’obésité était provoquée par une alimentation trop riche en calories plutôt que par une insuffisance du métabolisme.
Malheureusement, l’étude qu’ils ont faite (suite…)
Podcast: Play in new window | Download
Dans une quinzaine de jours, la belle saison d’été sera déjà terminée. Franchement -comme chaque année d’ailleurs- c’est passé beaucoup trop vite.
Dès que la rentrée s’annonce, les rythmes scolaires refont surface (en tous cas en ville), le trafic sur les routes reprend son rythme habituel, les embouteillages provoquent à nouveau des crises de nerfs et les places de parking deviennent rares.
Et en plus, le soleil se met de la partie : non seulement il nous chauffera de moins en moins avec le temps qui passe, mais en plus il nous tiendra de moins en moins compagnie. Les arbres déprimeront tellement qu’ils en perdront leurs feuilles.
Bref, c’est la fin, tout va mal…
Tout ? Vraiment tout ? Mais non, ce qui est génial, c’est (suite…)
Voici déjà le troisième carnaval (organisé par Ludivine du blog « L’ordonnance ou la vie ») d’article auquel je participe avec tous mes collègues blogueurs… Et pour cette fois-ci, le thème choisi est « l’écologie ». Rien que ça.
Vaste programme. Et je vous avoue que j’ai bien cru au début qu’il me serait très difficile, voire impossible, de faire un lien intéressant entre ce thème et celui du présent blog qui s’intéresse à la perte de poids.
Et pourtant il y en a un dont j’aimerais vous parler aujourd’hui. Il s’agit d’un domaine d’étude très intéressant parce que très complexe et très actuel. Je veux parler des kilomètres alimentaires. Rassurez-vous : comme d’habitude, je simplifierai au maximum et j’irai à l’essentiel 🙂
D’abord, j’aimerais préciser que je prends la notion d’écologie dans son acception courante au jour d’aujourd’hui. Celle que monsieur tout le monde comprend quand il prononce le mot, c’est-à-dire la discipline qui tente de réduire l’impact négatif de l’homme sur son environnement naturel. L’intérêt principal de ce domaine de réflexion étant que si l’homme préserve son environnement, il préserve par la même occasion (suite…)